Il est généralement souvent six heures du matin, je ne peux attendre au lendemain, je me lève crayon en main, je m’y met, je garde ce qui me plaît et je jette le reste, mes chansons, mes poèmes sont comme mes enfants, c’est moi qui les créent, de l’ancre sur une feuille de papier, les idées enregistrées dans mon sommeil, ils me réveillent impatients que je construise les flashs que j’ai parfois aussi dans la journée, pour en faire peut-être des futurs succès, pas obligé d’être international, car je n’écris seulement qu’en français, pas que je déteste l’anglais, mais je la maîtrise moins, j’y vais avec ce que je connais, avec quoi je suis le plus à l’aise, je suis fier d’eux, même si j’en ai jetées plus d’une centaine, pas que je ne les aimaient pas, mais pour le publique qui les liront et peut-être utiliseront, bien il faut que se soient du béton, des textes de fous, des textes qu’on entendra et qu’on appréciera, je suis un auteur et je ne peux me permettre de salir ma réputation avec des écris moins bons, car dans le domaine de la poésie, je veux éclater comme un feu d’artifice, merci à tout les gens qui depuis trois ans prennent le temps de lires et propager ce que j’ai dans la tête et dans le cœur, mais surtout dans les tripes.