Dans la vitrine,
J’ai vu dans une vitrine un reflet,
Je me suis arrêté,
Je l’ai regardé,
Je l’ai observé,
J’ai imaginé ce qu’était sa vie,
J’ai vu dans une vitrine un reflet,
Je me suis arrêté,
Je l’ai regardé,
Je l’ai observé,
J’ai imaginé ce qu’était sa vie,
Un jour prochain, je m’en irai,
Pris soudain d’une lassitude
Du monde et ses vicissitudes,
Et d’un désir de solitude.
Quand la vie n’aura plus d’attraits,
Dans tes bras je me noie,
Dans ton regard mon amour avec toi je le voie.
Soleil de ma vie,
Mes jours grâce à toi s’élimine.
Perdu de vue, la vie nous à de nouveau réuni
yés dans mes reves jais plus le rmi je skoater la securite social et les aloke familial j revise
mes couplé a 3 heure du matte jetais intrin de commater je matté le plafond les yeux fermé est
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Il y aura des jours, des jours et des nuits,
Des jours interminables, des jours d’ennui.
La vie s’écoulera, semaine après semaine,
Toujours aussi fantasque et souvent inhumaine,
Il y a la seconde, la minute, l’heure,
Le quart et la demie, la bonne heure, la male heure,
Le jour, la semaine, le week-end et le mois,
Sans arrêt un tic-tac qui nous met en émoi.
Il y a un trimestre, il y a une année,
Je veux écrire une chanson
Pleine d’amour et d’allégresse,
Dans ce monde qui nous agresse,
Une fraicheur, une caresse,
Comme un rire de nourrisson,
Un vieil homme, bien toiletté,
A grimpé sur un toit, l’été.
Grand amateur d’Alphonse Allais,
Se sentant mal en fonds salés,
Diplomé, d’autre part, en thèse
Chers lecteurs, soyez indulgents,
Prenez pitié d’un indigent,
Je ne suis qu’un poëte en herbe,
Presque puceau, encore imberbe,
Qui éprouve un besoin urgent