Aphorismes no. 3
À force de parler dans le vide on tombe et on finit par toucher le sol, à force de pousser dans le
À force de parler dans le vide on tombe et on finit par toucher le sol, à force de pousser dans le
1 ) Le temps est long pour te revoir
Je pense à toi, et je souris
Un peu sans s’en apercevoir
On est devenu des amis
Andalousie tu es jolie, tu m’as séduit
1) Tu parlais de ta vie, de tes idées rebelles
De ces causes perdues, des combats que tu mènes
Moi j’étais suspendu à ta bouche à tes lèvres
J’aurais bien voulu arrêter le temps
Et je t’écoutais inlassablement
combien as-tu de mains
combien de bouches
combien de mots
combien de semaines encore
avant de te revoir
1) Quand arrive l’été, dans le sud de la France
On les entend chanter, quelque part en Provence
Une chanson qui vole, portée par le Mistral
C’est le chant des cigales
J'arrive pas a comprendre les gens
Ils ne font que se plaindre, qu'est ce que c'est chiant
Soyer au moins dans la galère pour l'ouvrir
Toujours invisibles sur les rues de mes peines et de mes problèmes
je me débrouilles moi même
[ A partir d'ici, l'émeute commence
Allez c'est parti active toi
Sa commence a ce remplir , envoie la musique bébé
grace a elle tout le monde est lié ]