Derrière la porte
se trouve l'inconnue.
Mais qu'importe
si le monde s'évertue,
la tête dans le sable,
a sauvegarder le passé.
L'aveugle caravane
vit d'un mirage inachevé.
L'un après l'autre,
les murs s'écroulent
comme des châteaux de cartes,
soufflés par les vents de liberté.
L'un après l'autre
les peuples découvrent
l'envie, l'aube de leurs droits
gagnés par le sang versé.
Des hommes se soulèvent
quand d'autres se taisent
et de peur se terrent,
dans la crainte se complaisent.
Devant la voix de son maître,
l'homme n'a que pitance
puis se découvre l'envie d'être
alors dresse la potence.
L'un après l'autre,
les murs s'écroulent
comme des châteaux de cartes,
soufflés par les vents de liberté.
L'un après l'autre
les peuples découvrent
l'envie, l'aube de leurs droits
gagnés par le sang versé.
Les puissants de ce monde
ont pris la place des Dieux,
derrière les remparts se fondent
parmi le peuple silencieux.
Impuissant devant l'empire,
il n'y a pas de juste milieu,
l'homme a le droit de choisir
le bien, le pire, le mieux.
L'un après l'autre,
les murs s'écroulent
comme des châteaux de cartes,
soufflés par les vents de liberté.
L'un après l'autre
les peuples découvrent
l'envie, l'aube de leurs droits
gagnés par le sang versé.
Pascal.b
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