De la mort dans les yeux,
rage cachée et air joyeux,
un passé fort malheureux,
et l'esprit tout proche des Dieux.
Mais une fois endormi,
ni souffrant ni heureux,
je me suis dit : c'est pas fini,
mais trop tard pour les aveux.
Une promesse à l'hôpital,
suivit d'un espoir ephemere
pas très bon pour le moral,
je broie du noir mais espere
toi, l'esprit seul croyant en moi.
voyant la colère mais pas le mal.
Bien plus fort que l'on croit,
et bien plus faible, oh pardon Pamm.
Je pense trop liberté je le sais,
je ne suis pas normale.
Tu étais sûrement le seul qui comprenait,
et au fond c'est pas plus mal.
On partageait un rêve,
on l'a creusé dans notre âme.
assez de volonté pour "dévorer la terre",
mais ce jour-là je suis parti, pardonne moi Pamm
Le lendemain, je reviens.
Toi endormi, samu, coma.
Je me dis : ça n'est rien.
Famille appelée, fini, basta.
Toi le monsieur capable de voir un enfant
dans les yeux d'un tueur,
d'entendre des battements
là où il n'y a plus de cœur.
Toi seul à se dire on se battra pour l'avenir !
quand tout le monde baisse les bras..
Et capable de faire rire
là où ça ne rigole pas.
Toi seul à ne pas avoir peur,
et à voir la vie comme des leçons à apprendre par cœur.
De ne pas savoir où le chemin mène,
mais de penser : tant pis on y va quant même !
le seul capable de démasqué la haine,
et le seul, a savoir lui dire je t'aime.
J'ai jamais eu ta sagesse,
cette force de penser hier et hier.
De dire : on jouera au osselet !
quand le corps mène au cimetière.
Tu n'as pas vu couler mes larmes,
et au fond c'est pas plus mal.
T'étais le seul à voir sous le masque.
Si tu savais comme j'ai eu mal.
J'aimerais pouvoir revenir
à ses moments ou ont se battais
contre la vie par des moments de fou rire
la vie est belle mais dure il parait
j'aimerais te faire revenir,
oui mais...
Une promesse a l'hopital suivit de quelque mots
vivre est devenu le plus cher de mes voeux
je te raconterais tous lorsque l'on se verra en haut,
Pardon Pamm, merci et adieu...
(Amm)