Pour un verre de trop,un vol à l'étalage.Comme une injustice et te voila en cage.Des semaines des mois renfermé.Et pour certains même des années.Seul sur son lit,plus vraiment d'espoir.Rien à faire juste broyer du noir. Quelques visites pour vous réconforter.Si tôt leur départ,se mettre à pleurer.On a plus faim à part de sortie.Retrouver la rue,sa famille ses amis.Et le temps qui passe ne change rien.Vous restez la comme un assassin. Avec toutes ces nuits de cauchemards.Ces barreaux aux fenêtres ces idées noires. Parfois cette envie d'en finir.Comme pour peut être se punir.Ou croire que rien ne sera pire.Mais faire ça n'est ce pas fuire. Refrain: Quand il ferme la porte.Qu'il tire le verrou.Vous restez en sorte.Un numéro d'écrou.Et on attends on attends quoi?La liberté qui ne vient pas.