Quand
Quand la peur nous tétanise
On arrive plus à avancer
Quand les excès nous détruisent
La vie n'a plus d'interêt
Quand nos sourires se font rares
Quand la peur nous tétanise
On arrive plus à avancer
Quand les excès nous détruisent
La vie n'a plus d'interêt
Quand nos sourires se font rares
1 Assis dans son salon à demi éclairé
Il écrit quelques mots sur un bout de papier
Pour celle qui longtemps lui a tenu la main
Et pourtant qui est partie un matin
Si tu es là , je voudrais que tu aies pitié de mon âme
Je t’en pris écoute si tu es la
Parce que tu ne vois pas que je souffre
Que mon âme est brisée éternellement
Parce que malgré tous mes essais de réparation
J’me lève encore comme chaque matin, la sonnerie m’tire de ce beau monde
Comme un sourd dans un crachin, la vue s’dégage et le voile tombe
Assis sur le bord du lit, je songe aux beaux rêves que je quitte
Et à contrecoeur je fuis l’envie de Morphée qui m’habite
Un matin de décembre, une lettre vient d’arriver
Laissant mon coeur en cendre, oui je pars à l’armée
Petit frisson ardent, me voilà sur l’départ
Pour régler l’incident, fait par les hommes en noirs