Personne ne peut !
Cela fait six ans
Qu'on se connaît maintenant
Les rires et les larmes
Et même sans armes
Serré dans le doux étau….
Serré dans le doux étau de tes lèvres,
Je m’abandonne. Je sens une grande fièvre
Monter en moi, jusqu’à m’électriser.
Tendu comme un arc, j’attends, inapaisé.
Errance
Tu es une perle
Mon lit, ton écrin
Vers toi, je nage
Je divague,
Je te rejoins
Tout simplement
Comme un doux baisé
Tu m'a envouté
Ton regard je ne l'ai plus quitté
Tes bras qui m'entour, je me sens protégé.
Il y a encore quelque temps je te conaissais pas
tu t'es laissé abattre
J'entends encore la belle mélodie
De ton rire que tu avais
Ta présence transformait les pleurs
En rayon soleil
Mais quand j'y pence
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