Cœur noir
Il est comme dans un cercueil
Avant d’être enterré
Chaque jour il porte le deuil
Depuis que tu m’as planté
Il n’ose plus battre
Il est comme dans un cercueil
Avant d’être enterré
Chaque jour il porte le deuil
Depuis que tu m’as planté
Il n’ose plus battre
1) Je me sens dépassé dans ce monde qui court
Le brouillard des faubourgs, la vie de tous les jours
Je cherche le chemin qui m’emmène vers toi
Remets moi à l’endroit
Dans le miroir, je peux me voir
Sans expressions, vide d'émotions
Depuis son départ il n'y a plus de couleur et plus sentiments dans mon reflet solitaire.
tu a tout emporté avec toi.
Dès la première prose, je pose une bastos
Pour te faire comprendre que ça peut-être notre dernier sacerdoce
Et que l’Enfer s’impose, en guise de nuit d’noce
[À croire qu’on est tombé sur un os], rien à voir avec les délires de sales gosses
Oublie la dolce vita, la vida loca, sur ces mots de peura, c’est pas les sons de Rocca, c’est
Je sors les Kleenex
Car j’en pleure déjà , à n’en plus finir mes textes
Trop de cicatrices dans le cortex
Que j’efface à coups de Tipp-Ex
Le monde n’est pas en reste, pour le comprendre
Sur un air de peura ... Rendons hommage ...
Depuis l'début, on ne fait que sursauter les étapes
Supprimons l'image de nos compères qui nous frappent
On vit maladroitement, visiblement plus les mains dans les sacs
J’ai perdu la confiance
Je n’y peux rien
Y’aura pas de nouvelle chance
Ni maintenant ni demain
T’oublier à tout jamais
J'ai cette air de fille riche, et ouais
On me respect mais j'aime qu'ils me parlent mal
Sa rend la chose plus excitante, tu vois
Me pousser contre le mur, te sentir dur
Oh, que j'aime sa