Un petit amour ordinaire
Mon coeur, mais ce n’est qu’un début,
Seulement des préliminaires.
Tempère ton imaginaire !
Toi, si souvent meurtri, fourbu,
Jeté sanglant aux urubus
Mon coeur, mais ce n’est qu’un début,
Seulement des préliminaires.
Tempère ton imaginaire !
Toi, si souvent meurtri, fourbu,
Jeté sanglant aux urubus
Une femme, un regard,
Nos cœur se sont toucher.
Uni à tous jamais,
J’avise la calculatrice,
Et parfaite simulatrice,
Qui a la ferme intention
De prendre le coeur de mon fils,
Le prince, en tête au box-office,
Je voudrais tant que ce poème,
Le prochain et le troisième,
Aient l’effet d’un chant de grillon
Vous protégeant des tourbillons,
Qu’ils s’approchent de vos oreilles
Je pense à la première fois.
Je me souviens du paysage,
Mais plus du tout de son visage,
De son prénom ou de son âge.
Il est si loin cet autrefois.
J'ai des ami(e)s
Qui n'ont pas le même style
Ni le même genre de musique
Ou encore les même goûts...