Premier vrai battement de mon coeur
Ta présence même me manque
Ton souffle sur ma nuque
L'espace que tu occupes
Ta présence même me manque
Ton souffle sur ma nuque
L'espace que tu occupes
A l’aube d’un jour
Doucement les ombres s’estompent, de squelettes les arbres revivent, se parent de chair verte .
Mon âme renait, angoisses des cauchemars doucement disparaissent, la vie prend le dessus.
Les Seigneurs de la Guerre
Sur un quai près de Varsovie ,une vieille femme attend son destin ,un vent glacial fait virevolter
des classes préfabriquées, alignées comme une caserne au garde-à -vous.Une volée de blouses
grises, comme autant de moineaux qui s'égaillent dans une cour en terre battue.Et un jour, la
voilà l'école des grands.Je la vois de ma fenêtre, qui émerge lentement d'un champ en
friche.Grande bâtisse sur deux étages, prête à recevoir les futurs premiers de la classe et les
cancres comme moi, avec le chauffage central et les toilettes. En attendant je fais connaissance