Les poètes
Le parc, bien entretenu, une jolie pelouse vert tendre parsemée de massifs de fleurs , petites
touches de couleurs chatoyantes comme ces beaux bouquets que l’on aime offrir à sa belle, un banc
en fer forgé et bois usé par le temps où les promeneurs poètes viennent se poser et penser ; un
jeune homme au regard mélancolique, le pantalon délavé une vieille chemise trouée, un peu trop
grande pour son corps trop maigre de rêveur mal nourri vint un jour s’asseoir sur les planches
Premier vrai battement de mon coeur
Ta présence même me manque
Ton souffle sur ma nuque
L'espace que tu occupes
A l'aube d'un jour
A l’aube d’un jour
Doucement les ombres s’estompent, de squelettes les arbres revivent, se parent de chair verte .
Mon âme renait, angoisses des cauchemars doucement disparaissent, la vie prend le dessus.
Les seigneurs de la Guerre
Les Seigneurs de la Guerre
Sur un quai près de Varsovie ,une vieille femme attend son destin ,un vent glacial fait virevolter
La grande école
des classes préfabriquées, alignées comme une caserne au garde-à -vous.Une volée de blouses
grises, comme autant de moineaux qui s'égaillent dans une cour en terre battue.Et un jour, la
voilà l'école des grands.Je la vois de ma fenêtre, qui émerge lentement d'un champ en
friche.Grande bâtisse sur deux étages, prête à recevoir les futurs premiers de la classe et les
cancres comme moi, avec le chauffage central et les toilettes. En attendant je fais connaissance
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