Reine vilaine,
Sur cette terre qui est à l’envers,
Dans mes rêves, je reçois ma reine vilaine,
Elle me dit, prends ce qu’il y a,
Je lui ai demandé qui elle était au juste,
Elle m’a dit,
Une femme, un regard
Une femme, un regard,
Nos cœur se sont toucher.
Uni à tous jamais,
océan de ma vie
En te voyant un océan de bonheur envahie mon être,
Ma vie à tes cotés sarrette.
Soleil de ma vie
Soleil de ma vie,
Mes jours grâce à toi s’élimine.
Perdu de vue, la vie nous à de nouveau réuni
Il y aura des jours, il y aura des nuits
Il y aura des jours, des jours et des nuits,
Des jours interminables, des jours d’ennui.
La vie s’écoulera, semaine après semaine,
Toujours aussi fantasque et souvent inhumaine,
Je voudrais tant que mes poèmes
Je voudrais tant que ce poème,
Le prochain et le troisième,
Aient l’effet d’un chant de grillon
Vous protégeant des tourbillons,
Qu’ils s’approchent de vos oreilles
Les chercheurs d'or
On quitte son pays, sa contrée de misère,
Le Minas, le Sertaõn, un futur odieux,
Qui n’a jamais connu croira que j’exagère,
Parfois femme et enfants, des jeunes et des vieux,
Pour gagner, plein d’espoir, une terre étrangère.
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