Disparition humanitaire
Allongé prés du banc, je contemplais l’enfant
Sur sa joue, la peinture maquillait son allure
Affamé par ses maîtres de l’amour et du rang
Coeur de vie Coeur de mor
La grisaille des nuages émousse le temps qui meurt
Les cheveux grisonnants n’annoncent pas le printemps
Autrefois j’aimais rire dés le soleil levant
Maintenant je savoure la vie sans plus de peur.
j’écris de ma sueur
Le bonheur n’est pas n’est pas dans la perfection mais de comment tu la tolères
Maintenant regarde moi bien et dis moi de quoi ai-je l’air
Regarde moi en microscope en lunettes 3D ou solaire
Même fond d’écran tu verras ma sueur et ma colère
Maintenant zoome sur ma perfection dis moi si je suis parfait
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