souffrir

De tyler le 13/04/2013 (3 visites depuis 7 jours)

Ton coeur balafré, défigurer,
la raison? La vrai?
c'est comme sa qu'on ta configurer.
Tu voudrai te soulager,
prendre le large nager.
L'esprit ailleur a démanager.
Tu ferme les yeux,
tu pense à tous refaire,
prier les cieux,
pour quitter cette enfer.
Tu regarde ces instants défilès,
ces moment ou t'es pris entre les maille de mes filets.
Tu réfléchi à toutes ces barrières,
t'imagine un retour en arrière.
tu soupir la douleur est en train de te percer
tu te dit qu'il a pire mais regarde ton coeur se faire transpercer.
Toi et la solitude comme des voisins,
une tache d'encre pour t'apprivoiser,
dés fois c'est la vue qui est fausser,
mais dans le tas ta toujours foncé,
ta haie sans jamais te forcer,
avec le bonheur ta divorcé,
le plus fort c'est que ta la carapace renforcer,
ta perdu l'espoir,
sa perdure tout les soirs,
tu pense qu'a ta poire
quand tu fixe cette lame de rasoir.
Debout tu tien à peine,
t'aimerai t'asseoir.
T'en vois plu le bout,
les projets à la benne c'est dérisoir, c'est des histoires.
Ta plus le gout de manger,
cette nuit ta déranger,
ce reve ta démanger,
meme ce jour ou tu t'es ranger,
cette chimère couleur oranger,
ces prières qui peuvent tout arranger.
Ton ame qui hère dans ce néant,
t'es larme de colère car ton bonheur et fénéant .
A l'aube tu te reveil
alors que mourrir t'émerveille.
Tu te laisse vivre,
entame la bouteille pour etre ivre,
tu jete un oeil par la fenetre,
t'admire ce paysage funestre.
Tu trouve que j'écrit bien pour un gaucher,
raconter ta vie qui fait des ricochets.
tu pleure t'es proche qui sont partis,
chaque jour un peu plus tu te rapproche
tu voudrai mettre fin a la partie.
Tu crois que sa n'arrive qu'aux autre,
et pourquoi obeir aux ordres?
Tu te sent inférieur,
tu sent que ta mal à l'intérieur,
ne pas le faire montrer à l'extérieur.
Sans jamais t'arreter tu va courrir,
faut pas regretter si personne ne vient te secourir.
Ta la vision remplie de buée
besoin d'une révision, besoin d'une bouée.
Ta qu'a lire, sortir de ton délire
qui finira tot ou tard par te démolir.
T'es yeux trempée,inondés,
tu t'es souvent trompé
au jour le jour sinon des
sentiments te turons.
Tu prie tous les jour, ton échappatoire
sa coule sur t'es joues, ton destin passe à l'abbatoire
Ta loupé le train, t'es farçé
t'es contraint de t'éffacer.